Depuis quelques années les attaques et les actions des "anticorridas" sont plus nombreuses plus insidieuses et parfois violentes et bénéficient de soutiens très médiatiques.
Même si ces actions, parfois très virulentes, ne sont pas prêtes d'aboutir en France, il n'en demeure pas moins que les aficionados doivent réagir et doivent avoir la liberté d'assister aux spectacles taurins.
Si un jour cet abolitionnisme atteignait la corrida il est certain qu'alors les prochaines victimes seraient la course camarguaise, les abrivados et tous les spectacles taurins.
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Association de défense des tauromachies - Sommières
La Camargue bucolique des chevaux de monte
Le réveil matinal
ça va commencer...
L'eau rafraîchissante du Rhône
Presque prêt...
La récompense
Moment de détente...
... et ombre salvatrice
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Le repaire des cocardiers
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à la manade Lou Pantaï
Tatouage humain et marquage d’un tourillon.
C’est la même chose sauf que l’un est une mode et que l’autre a une pleine utilité. Il s’agit d’altérer superficiellement l’épiderme par piqûres et produits chimiques, souvent durant des heures, pour agrémenter son corps, en tout cas c’est le but premier, dans le cas du tatouage humain. Dans le cas du tourillon cette légère marque à feu, qui va perturber son poil et uniquement son poil de façon permanente, va permettre son identification rapide et lointaine, et le faire entrer dans un cycle de travail qui peut lui ouvrir une longue vie. Tel est le rôle de ce marquage, opération de moins de cinq minutes par bête, traditionnellement appelé ferrade lors de son exécution, qui voit le tourillon relâché immédiatement et se remettre à paître dès qu’il a regagné le troupeau. Traumatisme avez-vous dit ? Mais alors pour qui ?