Depuis quelques années les attaques et les actions des "anticorridas" sont plus nombreuses plus insidieuses et parfois violentes et bénéficient de soutiens très médiatiques.
Même si ces actions, parfois très virulentes, ne sont pas prêtes d'aboutir en France, il n'en demeure pas moins que les aficionados doivent réagir et doivent avoir la liberté d'assister aux spectacles taurins.
Si un jour cet abolitionnisme atteignait la corrida il est certain qu'alors les prochaines victimes seraient la course camarguaise, les abrivados et tous les spectacles taurins.

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Association de défense des tauromachies - Sommières

La reconversion de Jean Luc Couturier.

Chez Lean Luc Couturier à Coste-belle près des Alpilles.

Les toros de Coste Haute sur le "corredero" d'entraînement. Saint Martin de Crau - Bouches du Rhône.

La tauromachie, une passion irrépressible

Jean-Luc Couturier est un industriel de la boulangerie. Il fit fortune en inventant le pain « prêt à cuire ». Et si certains dépensent leur argent dans la drogue, les femmes, lui ce qu’il aime ce sont les toros. Alors, en 2012, direction l’Espagne où il achète le fameux élevage de Valverde. L’élevage n’est pas en bon état et la priorité est à la reconstruction. Sélection sévère des vaches et rafraîchissement de sang avec l’introduction de vaches du Conde de la Corte et des étalons de El Torero (Domecq). Si ce dernier rafraîchissement peut surprendre, Jean-Luc Couturier l’explique par l’ascendance commune : Parladé. Indiscutablement, les moyens sont là, rien ne manque à la finca de Coste Haute qui est un modèle du genre. Atypique, Jean-Luc Couturier tranche dans le monde taurin. Il applique la logique qu’il a apprise dans les affaires et l’industrie tout au long de sa vie, ce qui dénote dans un milieu qui a tendance à vivre dans le passé et à parfois oublier le bon sens paysan. L’homme se fait plaisir tout en contemplant ses toros forts, armés comme il les aime, et hauts en couleur pourrait-on ajouter, car, en 2013, il a acquis l’élevage de Concha y Sierra. Les résultats sont bons et on peut dire aujourd’hui qu’il a sauvé les Valverde.
Texte extrait du site Terre de Toros

Le cheptel de Coste-Haute était composé de deux élevages, les "Curés de Valverde" et les "Concha y Sierra". Suite à la crise du Covid assorties de tracasseries administratives... les Concha y Sierra sont retournés en Espagne.