Depuis quelques années les attaques et les actions des "anticorridas" sont plus nombreuses plus insidieuses et parfois violentes et bénéficient de soutiens très médiatiques.
Même si ces actions, parfois très virulentes, ne sont pas prêtes d'aboutir en France, il n'en demeure pas moins que les aficionados doivent réagir et doivent avoir la liberté d'assister aux spectacles taurins.
Si un jour cet abolitionnisme atteignait la corrida il est certain qu'alors les prochaines victimes seraient la course camarguaise, les abrivados et tous les spectacles taurins.

Accueil | Nous contacter | Mentions légales | Copyright 2020 aficion.org |Tél 04 67 86 40 55 - 06 22 18 80 29 | email: aficion3@gmail.com

Association de défense des tauromachies - Sommières

POUR MIEUX COMPRENDRE LA CORRIDA

Les arènes : Les courses de toros se déroulent dans un
cirque fermé appelé Plaza. Il comprend le ruedo, piste
circulaire de sable fin et les gradins, tendidos, à l'ombre,
sombra ou au soleil, sol pour différencier les prix des
places. Entre les deux, le callejon, couloir réservé aux
toreros aux services de l'arène, aux médecins et aux
représentants de l'autorité. Autour de la piste, on trouve les
burladeros, abris de planches qui servent de refuge aux
toreros. À côté des arènes, les corrales où les bêtes isolées
dans l'ombre attendent d'entrer dans le ruedo.

La corrida : La magie commence avec :
le paseo, c'est le début de la corrida avec le traditionnel
défilé des banderillos, des picadors, des toreros, toute la
cuadrilla au service de chaque matador (trois en général
pour deux combats chacun).0n peut reconnaître les toreros
ainsi, vus de face au premier rang : .à droite, le matador le
plus ancien (premier nom sur l'affiche).à gauche le second
matador .au centre, le plus jeune (troisième nom sur
l'affiche) Derrière les matadors, les équipes de banderillos à
pied et de picadors à cheval. Le déroulement de la corrida
est alors découpé en trois actes ou tercios annoncés par
des clarines (chaque taureau sera combattu en trois
temps).

Cape et piques : après quelques passes de cape pour fixer
l'animal (parfois très peu), les picadors interviennent. Ils
sont absolument nécessaires ; Le taureau doit être piqué
autant de fois que sa force l'exige. Pour certains toros
(mansos)  qui évitent le contact et sont dangereux, le
nombre de piques peut aller jusqu'à 5, 6, parfois plus... La
pique mesure et met en valeur les qualités premières du
taureau de combat : sa bravoure et sa puissance. Elle
permet en outre de ralentir l'animal et de régler son port de
tête. Alors et alors seulement, deviendra possible
l'exécution de passes plus lentes, plus serrées, plus
artistiques, donc plus dangereuses.

Le picador agit mal s'il
manœuvre son cheval pour bloquer la sortie (le départ du
taureau vers le centre de l'arène). Mais le bon picador qui
place adroitement le fer avant le contact et repousse
l'assaut avec vigueur et loyauté, mérite des bravos.
Signalons au passage que les picadors sont aux ordres de
leur chef, le matador. Les trois matadors doivent intervenir
à tour de rôle, pour éloigner le taureau du cheval. C'est le
QUITE : l'occasion pour les matadors de briller avec la
cape.

Les banderilles >>>

Le deuxième tercio correspond à la pose des banderilles
(bâtonnets de bois, ornés de papier couleur de 70 cm et
terminés par un petit harpon métallique).

C'est un délicat exercice technique d'une grande élégance. Quelques matadors
seulement sont des spécialistes des banderilles. On ne doit
pas exiger que le maestro les pose systématiquement. C'est
plutôt le rôle normal et habituel des aides: les banderillos ou
peones. Seuls les bons toros qui se prêtent au jeu devraient
être banderillés par le matador. En principe, chaque taureau
doit recevoir trois paires de banderilles, mais ce n'est pas
obligatoire.

La faena et l'estocade
Le troisième tercio donne lieu à un
face à face entre le torero muni de sa muleta et le taureau, puis
à la mise à mort de l'animal avec l'épée. La Faena est le travail
exécuté avec le drap rouge (muleta) avant l'Estocade.

Les passes les plus spectaculaires, agenouillement, "pirouettes",
ne sont pas les plus méritoires. Elles ne sauraient remplacer
l'essentiel, les plus difficiles et les plus dangereuses : les
passes basses données en séries. Bien toréer, c'est bouger le
moins possible et essayer de diriger le taureau, de guider les
cornes et de maîtriser ses charges.

C'est au torero d'imposer sa volonté au taureau plutôt que suivre ses
déplacements.
Accordée par le président, la musique n'accompagne que les bonnes faenas. L'estocade est le
moment du plus grand risque. Son- exécution compte plus que
son résultat. Une attaque loyale, en ligne droite et en
s'exposant aux cornes, peut heurter un os par malchance, et
ne mérite pas de sifflets.

Une Estocade spectaculaire n'est pas méritoire si la lame est placée de travers, dans le cou ou
l'épaule. Un ou plusieurs échecs du coup de grâce (descabello)
n'enlèvent aucun mérite à la Faena du matador. Si le taureau
n'est pas mort 10 minutes après le début de la Faena, le
président fait sonner un premier avis.

Au troisième (10 minutes), le toro rentre vivant au toril.

Les récompenses : Elles consistent en l'octroi au matador d'une oreille du taureau à la
demande majoritaire du public par agitation de mouchoirs
blancs. Seul le président est juge d'accorder la seconde oreille
en tenant compte de la qualité du taureau, du travail réalisé par
l'homme.
L'octroi de la queue du taureau doit être exceptionnel.
En réponse aux applaudissements du public, le torero peut "dar
vuelta" (faire un tour de piste) ou salue "en los medios" (au
centre).
La réprobation : Elle peut aller des sifflets à la "bronca"
(tout le contraire de l'ovation) en passant par le silence glacial si redouté des toreros.

Texte de Christophe Chay


I. ARGUMENTAIRE DE L'ASSOCIATION DE DEFENSE DES TAUROMACHIES "L'A F I C I O N " 

Cet argumentaire est proposé à nos adhérents afin
qu'ils puissent y trouver quelques phrases ou mots clefs
à opposer à ceux qui auraient tendance à discréditer
notre "PASSION".

Car nous sommes convaincus que, comme la corrida
est sévèrement attaquée, si elle n'est pas défendue, il
pourrait s'en suivre son interdiction définitive, qui
entraînerait à son tour, dans les années qui suivent,
vraisemblablement la suppression des courses
camarguaises, des abrivados, des bandidos et autres
encierros...

Ces arguments  s'adressent  aux esprits hésitants,
ouverts et "tendrounets " vis à vis de la corrida et non
pas aux anti- corridas (souvent butés et agressifs).
Cet argumentaire, a été conçu en toute humilité par une
poignée d'aficionados de l'Association,  qui ont mis en
commun leurs expériences et leurs réflexions.

RECOMMANDATIONS :
1. Nous devons être tolérants (comme ne le sont guère
les anti-corridas). Soyons compréhensifs, attentifs aux
questionnements divers, et explicatifs grâce à des
arguments courts et forts, en ayant une attitude
positive.
2. Lire, si possible, mais c'est presque
indispensable,"CINQUANTE RAISONS DE
DEFENDRE LA CORRIDA " de Francis WOLFF.
3. Lire aussi l'annexe : " POUR MIEUX COMPRENDRE
LA CORRIDA", afin de mieux comprendre son
déroulement.

"La corrida n'est pas un spectacle cruel et barbare,
mais une source inépuisable d'émotions et de joies
pour tous ceux qui la comprennent "  F.Wolff.

Essayons donc de faire comprendre notre
passion et de comprendre aussi la sensibilité, les émois
des personnes qui n'ont jamais vu de corridas ou qui
n'ont jamais eu d'explications sur le sujet.I .

II. LE RESPECT DES AUTRES ET NOTRE LIBERTE .

- Nous comprenons très bien que la corrida puisse choquer (la
mort, le sang...)
- Mais  "que les adversaires de la corrida comprennent aussi que
si nous allons aux arènes, ce n'est pas par jouissance perverse,
mais par admiration pour le combat du taureau et pour la vaillance
de l’homme."
F.Wolff.
- Que les "estrangers"(oui, cela peut être dit amicalement....) se
disent que s'ils viennent s'établir chez nous, ils prennent TOUT :
Le soleil, la douceur de vivre... mais aussi nos traditions et nos
coutumes.
                       
- Constats: En ville il n'y a plus de corbillard, plus de signes
visibles de deuil sur les personnes. La mort des animaux est
réfugiée dans le silence glacé des abattoirs industriels, celle des
hommes, dissimulée dans des maisons de retraite. En outre, dans
notre société, on avait auparavant, une sensibilité et des racines
rurales où l'on tuait régulièrement des cochons, des coqs, des
lapins...etc. tout cela est bien fini.  La société est devenue
"animaliste" sauf pour quelques "réalistes "qui reconnaissent le
bien fondé de ces actes-là, y compris les actes tauromachiques.
- " En voulant hisser les animaux jusqu'au niveau où nous voulons
traiter les hommes, nécessairement on abaisse l'homme au niveau
où nous traitons les animaux"
F.Wolff.
Dans ce cas il n'y aurait plus d'équité, d'égalité, de fraternité, de
justice... La communauté humaine serait réduite à celle très vague
et souvent injuste et sans lois de celle des animaux.
           
- Certains élevages sont devenus des " élevages de marchandises
" sans pour autant émouvoir les anti-corridas.
   
- Veut-on supprimer le foie gras, la laine, le cuir, le lait, le miel et
tous leurs dérivés...?

III.   LE TORO

- Le toro de combat est élevé pendant au moins quatre
ans dans de véritables paradis (ganadérias en Espagne
ou en Camargue)
- Il faut 7 voire 10 éléments taurins (sémentals, vaches,
veaux...) pour donner un seul toro de combat.
- Le toro de combat est un fauve, méfiant, agressif, de
race spécifique très violente et très brutale.
- Le toro de combat est un des rares animaux sauvages
qui tue pour tuer (le lion, lui, tue pour manger...)
- Vous mettez par exemple dix toros de combat dans un
enclos, même spacieux, au bout de quelques
semaines, il n'en restera que deux ou trois : Ils
s'entretuent.
- Un beccero (anouble) à sa naissance, est déjà
agressif.

- LA SOUFFRANCE : A la suite des études en
laboratoire du Professeur ILLERA DEL PORTAL,
directeur du département de physiologie animale à la
Faculté vétérinaire de l'Université Complutense de
Madrid conclue :
" Le toro de combat a des réactions hormonales
uniques dans le monde animal face à la douleur, qui lui
permettent de l'anesthésier presque immédiatement,
notamment par la libération d'une grande quantité de
béta-endorphines (opiacée endogène qui est l'hormone
chargée de bloquer les récepteurs de douleur),
particulièrement quand elle a lieu au cours du combat.
Le toro bravo, loin d'éprouver la douleur comme une
souffrance, la ressent comme un stimulant au combat"
F.Wolff
- Cet argument parait surdimensionné, mais il est
prouvé scientifiquement. D'ailleurs, dans la boxe, dans
le rugby, les coups sont ressentis après le combat ou le
match... (Certains en savent quelque chose !)
                             
- DISPARITION DE L'ESPECE ? : - Si la corrida était
supprimée, les éleveurs (ganaderos) n’élèveraient plus
cette race mais d'autres animaux. Le toro de combat
deviendrait alors une race éteinte ou presque, et les
seuls spécimens en vie, seraient dans les zoos.
- Dans l'arène, le combat est certes sans issue pour le
toro, sauf par un indulto, mais, à notre avis, c'est mieux
pour lui de mourir dans l'arène plutôt qu'à l'abattoir...
- En France, environ 800 toros sont combattus et mis à
mort dans l'année ... combien de bœufs, porcs,
agneaux, veaux, volailles sont-ils abattus...? Et qui se
soucie, qui s'émeut des conditions de l'abattage de ces
millions d'animaux ..?
- Nous respectons les chasseurs, les pêcheurs, les
éleveurs d'animaux, nous ne discutons pas du stress
lors du transport, et de l'abattage de ces animaux...
Question  à poser aux adversaires de la corrida : Etesvous végétariens ?
- LE CHEVAL :
Depuis 1924 le caparaçon (épaisse protection en tissu
renforcé) est obligatoire, les chevaux ne sont plus
blessés et ne meurent plus dans l’arène.
- Il arrive que certains chevaux destinés à la boucherie
soient sauvés, grâce à leurs dispositions, pour servir
aux piqueros.
V. LE PREJUDICE FINANCIER
- La défense du préjudice supposé est plutôt du
domaine du mundillo professionnel. Mais on peut
argumenter toutefois sur la perte de dizaines de milliers
d'emplois directs ou indirects (200.000 personnes
seraient concernées en Espagne pour 10.000 millions
d’Euros de chiffre d'affaire par an...voir : Revue
TOROS  No 1890), sans parler des taxes revenant à
l'état ; sur ce dernier point on peut se trouver sur un
terrain glissant eu égard à d'autres taxes: tabac,
alcool...donc prudence!
- La majorité des ganaderos font ce métier par passion
et peu sont ceux qui équilibrent leur bilan sans apport
personnel.
abrège aussi la durée de course d'un toro qui serait, sans cela,
très difficile à tuer tête haute.
Elle décongestionne le toro par dépression sanguine.
                                   
Certains pensent qu'il est facile de tuer un toro avec une épée
et un leurre ;
Il faut qu'ils sachent qu'être TORERO, c’est avoir du courage,
du sang froid, du panache, de la dignité, de la maîtrise de soi,
de la sincérité et aussi parfois, aller jusqu'au sacrifice de sa
propre personne face à un compagnon en danger...
- Un exemple: Sébastien CASTELLA a joué sa vie lors d'un
mémorable "seul contre six" au profit des sinistrés d’Haiti, le
Jeudi de l'Ascension à NIMES en 2010, sous une pluie battante
(il a du changer plus de dix fois de muletas tellement elles
pesaient !), les pieds dans l'eau, dissuadé par ses proches de
toréer, il a déclaré :" les Haïtiens ont bien plus souffert que moi".
Il a toréé gracieusement et fait don de la recette aux sinistrés
d'Haïti.
Quels hommes ont autant de vertus morales?
- "Le torero est un acteur auquel il arrive de vraies choses!
"Orson Wells".
- La corrida c'est le triomphe de la vie sur la mort
V. LA VIOLENCE
"La corrida ne génère pas de violence. "
Alain Montcouquiol
- On n'a jamais vu de car de C.R.S. devant des arènes lors de
manifestations taurines.
- Il faut savoir par contre, que Simon Casas et Robert Margé ont
reçu des courriers piégés avec des lames de rasoir, qui ne
venaient certainement pas d'aficionados.
- Un bus incendié (ARLES), une statue taurine  détruite
(MILLAS), des engins explosifs sous des véhicules... voilà ce
qu'est capable de faire "The Animal Liberation Front".
- On peut noter aussi les nombreuses agressions verbales des
anti-corridas à l'encontre d'aficionados pacifiques.
- La mise à mort du toro se fait dans un silence recueilli de la
foule (respect).
CONCLUSIONS   
     
-  "Il est sage de laisser les uns et les autres à leur
passion et de faire prévaloir le principe de  LIBERTE "
F.Wolff.
-  Si, à l'issue d'un entretien sur la corrida, vous obtenez
d'un adversaire potentiel, qu'il soit devenu un " non
signataire d'une formule de suppression de
la corrida : VOUS AUREZ GAGNE… ET
TOUTE L'AFICION AVEC VOUS...
- " "Es un mestié dé glori," é encaro!!!..."


IV. LE SPECTACLE

"Le toro de combat représente le seul adversaire que l'homme
estime digne de lui. C'est un animal auquel il se mesure avec
fierté et qu'il affronte par conséquent avec la loyauté qu'il doit à
un adversaire à sa mesure. Nous admirons la bravoure du toro
avant tout pour sa puissance, sa combativité incessante en
dépit des blessures, pour ses assauts répétés en dépit de leurs
échecs. Nous admirons aussi le courage de l'homme, son
audace, sa vaillance, son sang froid, son calme, son intelligence
de l'adversaire"
F. Wolff.           
- La corrida est un très grand spectacle - peut être le plus  grand
-  car il génère à la fois beaucoup de tentions émotionnelles  (la
vie, la mort) et aussi des atmosphères uniques, pleines de
couleurs, de costumes, de musiques, de clameurs (ovations ou
broncas ...).
- La pique est absolument nécessaire: Elle a pour but de mettre
en évidence la bravoure (combativité), du taureau, lorsqu’il
charge à plusieurs reprises, de réduire sa force, le calmer et
l’amener à baisser la tête, car on touche le ligament nucal, cela
abrège aussi la durée de course d'un toro qui serait, sans cela,
très difficile à tuer tête haute.
Elle décongestionne le toro par dépression sanguine.
                                   
Certains pensent qu'il est facile de tuer un toro avec une épée
et un leurre ;
Il faut qu'ils sachent qu'être TORERO, c’est avoir du courage,
du sang froid, du panache, de la dignité, de la maîtrise de soi,
de la sincérité et aussi parfois, aller jusqu'au sacrifice de sa
propre personne face à un compagnon en danger...
- Un exemple: Sébastien CASTELLA a joué sa vie lors d'un
mémorable "seul contre six" au profit des sinistrés d’Haiti, le
Jeudi de l'Ascension à NIMES en 2010, sous une pluie battante
(il a du changer plus de dix fois de muletas tellement elles
pesaient !), les pieds dans l'eau, dissuadé par ses proches de
toréer, il a déclaré :" les Haïtiens ont bien plus souffert que moi".
Il a toréé gracieusement et fait don de la recette aux sinistrés
d'Haïti.
Quels hommes ont autant de vertus morales?
- "Le torero est un acteur auquel il arrive de vraies choses!
"Orson Wells".
- La corrida c'est le triomphe de la vie sur la mort
V. LA VIOLENCE
"La corrida ne génère pas de violence. "
Alain Montcouquiol
- On n'a jamais vu de car de C.R.S. devant des arènes lors de
manifestations taurines.
- Il faut savoir par contre, que Simon Casas et Robert Margé ont
reçu des courriers piégés avec des lames de rasoir, qui ne
venaient certainement pas d'aficionados.
- Un bus incendié (ARLES), une statue taurine  détruite
(MILLAS), des engins explosifs sous des véhicules... voilà ce
qu'est capable de faire "The Animal Liberation Front".
- On peut noter aussi les nombreuses agressions verbales des
anti-corridas à l'encontre d'aficionados pacifiques.
- La mise à mort du toro se fait dans un silence recueilli de la
foule (respect).
CONCLUSIONS   
     
-  "Il est sage de laisser les uns et les autres à leur
passion et de faire prévaloir le principe de  LIBERTE "
F.Wolff.
-  Si, à l'issue d'un entretien sur la corrida, vous obtenez
d'un adversaire potentiel, qu'il soit devenu un " non
signataire d'une formule de suppression de
la corrida : VOUS AUREZ GAGNE… ET
TOUTE L'AFICION AVEC VOUS...