Depuis quelques années les attaques et les actions des "anticorridas" sont plus nombreuses plus insidieuses et parfois violentes et bénéficient de soutiens très médiatiques.
Même si ces actions, parfois très virulentes, ne sont pas prêtes d'aboutir en France, il n'en demeure pas moins que les aficionados doivent réagir et doivent avoir la liberté d'assister aux spectacles taurins.
Si un jour cet abolitionnisme atteignait la corrida il est certain qu'alors les prochaines victimes seraient la course camarguaise, les abrivados et tous les spectacles taurins.
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Syndicats agricole, Camargue, Corrida, Course Landaise, chasse, pêche, Esprit du sud…
MONTPELLIER 11 FEVRIER 2023
MANIFESTATION de la RURALITE
Le déroulé de la manifestation
Nouvelle provocation des écolos-animalistes! Et voilà, c’est reparti, il n’a pas fallu bien longtemps qu’après une tentative infructueuse d’atteinte à la culture qui fait vivre le cheptel taurin dédié à la corrida, les « amis des bêtes » ne se mettent encore en évidence pour attenter à la culture qui fait vivre le cheptel taurin camarguais, dans des conditions incomparables à tout autre bovin dans le monde soit dit en passant, hormis son cousin ibérique qui est élevé de la même façon.
On vous invite donc à lire, pour celui qui connaît un tant soit peu le milieu camarguais, la suite d’inepties qui fait suite à ce préambule, concernant les « sévices » infligés à nos animaux. « Sévices » tels qu’ils se remettent à brouter cinq minutes plus tard… et qu’ils leur ouvrent un avenir, chose plutôt rarissime pour ce qui concerne un bovin dont le futur immédiat est en général la mort.
On ajoutera qu’il ne suffit pas de porter des chemises de gardian, en l’occurrence d’opérette, pour avoir une connaissance profonde du monde camarguais. Parmi les « signataires », le monsieur en question se reconnaitra. Dommage, il est par ailleurs très cultivé, pas toujours désagréable et il est regrettable que son nom soit mêlé à ce texte à relent idéologique qui dénote une impéritie globale affligeante de notre monde.
Tauromachie : il faut « réformer la bouvine » et mettre fin à « certaines pratiques archaïques »
Dans une tribune au « Monde », des personnalités politiques et des associations animalistes, parmi lesquelles Julien Bayou, Caroline Roose et Henry-Jean Servat demandent une réglementation des pratiques entourant la bouvine. Si cette activité tauromachique se fait sans mise à mort, elle provoque mutilation et souffrance animale.
Publié le 07 janvier 2023 à 10h00, mis à jour hier à 10h08 Temps de Lecture 3 min.
Au cours de la récente bataille médiatique sur la corrida, la bouvine a été un sujet défendu par certains aficionados, essayant de faire un amalgame entre les deux activités. Contrairement à la corrida, la bouvine est une tradition du Sud de la France et correspond à un ensemble de jeux et spectacles taurins, sans mise à mort de l’animal.
Les acteurs de la bouvine préparent une demande d’inscription à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco, en partenariat avec des pratiquants d’activités tauromachiques du sud de la Catalogne et de la Toscane.
Cette reconnaissance sanctifierait à la fois les courses, mais surtout les gestes et le savoir-faire qui s’y rattachent. Si les jeux eux-mêmes sont loin d’être menacés comme peut l’être la corrida, il s’agit en fait surtout de préserver des pratiques dont certaines sont archaïques et loin de faire l’unanimité.
Supplice de la pince
Dans les manades, les jeunes taureaux sont castrés afin notamment de les rendre moins dangereux lors des courses. Pratiqué par torsion testiculaire et blocage de l’afflux sanguin, le bistournage est la méthode la plus ancienne. Aussi appelé localement « le supplice de la pince », il consiste à écraser chaque cordon spermatique à travers le scrotum. Couché de force et pattes ligotées, l’animal subit souvent cette mutilation à vif. Mal effectuée, elle laisse un testicule fonctionnel.
Ainsi, certaines manades préfèrent une ablation totale des testicules pour l’éviter. L’opération consiste à inciser le scrotum afin de dégager les testicules pour les tourner jusqu’à ce qu’ils tombent. Cette pratique génère des douleurs extrêmes. Certaines exploitations pratiquent ces ablations également sans endormir l’animal.
Une dernière méthode employée dans les élevages se résume à stériliser les taureaux en posant un élastique au-dessus des testicules, durant trois à sept semaines, ce qui les fait également beaucoup souffrir. Ces douleurs intenses, dénoncées depuis des décennies par les associations de protection des animaux ne sont pas acceptables. L’anesthésie des animaux lors de la stérilisation doit être rendue obligatoire, avec des contrôles effectués par des acteurs sans lien d’intérêt avec le monde de l’élevage.
Autre rituel : la ferrade, dont la mise en scène rassemble touristes et passionnés de bouvine. Pour les distinguer, les taureaux sont marqués au fer rouge. Poussés au sol à l’aide d’un trident, ils sont maintenus par les invités pendant que le fer leur brûle profondément la peau.
Afin de montrer de quelle manade ils proviennent, on leur inflige également l’escoussure en découpant à vif leurs oreilles avec un couteau, pour concevoir des formes propres à chaque manade. La ferrade et l’escoussure doivent être interdites. Elles sont d’autant plus inutiles que certaines manades les ont déjà abandonnées au profit de boucles auriculaires comme seul moyen d’identification.
Pratiques dangereuses
Plus prisées encore pour animer les fêtes locales, de nombreuses manifestations rythment l’été des villes et villages du Sud. S’y succèdent l’abrivado et la bandido, qui désignent le lâcher de taureaux dans des rues barricadées, et les courses camarguaises dans les arènes. Sortir de leurs prairies des bovins paisibles pour les immerger dans une foule hurlante provoque un stress profond. Ici, les risques de blessures sont nombreux.
Les yeux des animaux ont parfois été crevés par le crochet fait de lames dentées, destinées à couper les fils retenant la cocarde. Une barrette a été ajoutée au crochet afin de limiter la profondeur des blessures mais il reste dangereux. Il existerait pourtant bien d’autres façons de la fixer qui n’imposeraient pas de recourir à un outil tranchant pour la décrocher.
De multiples lésions, parfois mortelles, pourraient également être évitées en rembourrant les obstacles et barrières, et en fixant des guêtres de protection aux animaux. Les communes qui organisent ces activités se doivent d’assumer cette sécurisation minimale.
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Sachons sortir d’une culture de la violence et de la souffrance. Nous prônons une valorisation de notre culture mais demandons la réforme des traditions qui engendrent des sévices envers les animaux ou les humains.
Nous, élu(e)s, président(e)s d’associations ou de partis politiques, demandons aux législateurs de réformer la bouvine telle qu’elle est proposée, afin qu’elle ne génère plus ces souffrances animales et qu’elle ne bénéficie d’aucune reconnaissance officielle ni de soutien public ; en attendant une réforme éthiquement acceptable et validée par les acteurs de la protection animale.
Signataire : à l’initiative de Eddine Ariztegui, conseiller municipal à Montpellier (Parti animaliste) ; Cosignataires : Muriel Arnal, présidente de One Voice ; Julien Bayou, député (EELV) ; Muriel Fusi, coprésidente du Parti animaliste ; Brigitte Gothière, directrice L214 Ethique & Animaux ; Jean-Marc Governatori, conseiller municipal et métropolitain à Nice et président de l’Ecologie au centre ; Jacques-Charles Fombonne, président de la Société protectrice des animaux ; Laurence Hay, présidente de Paris animaux Zoopolis ; Sandra Krief, conseillère municipale et métropolitaine à Grenoble (Parti animaliste) ; Coralie Mantion, conseillère municipale et métropolitaine à Montpellier (EELV) ; Christophe Marie, directeur adjoint et porte-parole, Fondation Brigitte Bardot ; Douchka Markovic, conseillère de Paris et coprésidente du Parti animaliste ; Caroline Roose, députée européenne (EELV) ; Amandine Sanvisens, fondatrice de Paris animaux Zoopolis ; Henry-Jean Servat, conseiller municipal et métropolitain à Nice ; Hélène Thouy, coprésidente du Parti animaliste, ex-candidate à l’élection présidentielle.
L'association de défense des tauromachies ayant pour mission de défendre toutes les tauromachies, la bouvine à son tour attaquée par un certains nombres d'élus écolos-animalistes de la métropole de Montpellier et d'ailleurs, nous ne pouvions ignorer la réaction du député lunellois Patrick Vignal parue ce 11 janvier 2023 dans le journal Midi Libre.
Réaction médiatique certes mais aussi courage politique qui le conduit probablement, en tout cas sur le sujet qui est le notre, à ne pas vivre les yeux rivés sur des sondages, à ne pas chercher à s'attirer la bienveillance de réseaux sociaux, à ne pas être embarrassé par la mode du moment, la défense animale ou prétendue telle.
Manifestement le "pas de vagues" de certains politiques, qui pleutres ont même perdu l'habitude d'assister aux spectacles taurins, il s'en fiche. La main tendue en quête de quelques voix supplémentaires n'est pas la sienne. Nous relevons dans cet article une vision et une opinion bien affirmées au bénéfice de la bouvine et nous remercions son auteur pour cet engagement.
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"La bêtise n'est jamais éloignée de l'ignorance", citation qui s'est une fois de plus vérifiée devant le club de la presse en ce mois de janvier 2023 à Montpellier.
Merci aux élus de Saint Brès, Baillargues, Pérols, Saint Drézéry, Beaulieu, Saint Georges d'Orques, Vendargues et Restinclières, concernés directement par la tauromachie locale au sein de la métropole de Montpellier, d'avoir fait face à quelques opportunistes parisiens méprisant 200 ans d'histoire locale.
Excédée par les provocations des écolos-animalistes la ruralité réagit!
Midi Libre du 13 janvier 2023
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Il faut le leur dire comment à ces nouveaux arrivant et élus de la métropole de Montpellier, la métropole de tous les dangers concernant la bouvine?
Non, il n'y a plus de troupeaux sauvages de taureaux errants en Camargue. Ils appartiennent tous à un éleveur. Qui dit éleveur dit entreprise et qui dit entreprise dit recette.
Donc s'il y a des taureaux qui paissent dans les prés de Camargue, au grand bonheur de tous, c'est parce qu'ils sont inclus dans un processus culturo-économique qui s'appelle la Bouvine. Ok?
Alors évitons de sortir des inepties du genre "il faut les laisser tranquilles dans leurs prés". S'ils y paissent et y sont tranquilles l'essentiel de leur temps, c'est qu'à certains moments il vont gagner leur vie ailleurs. C'est pas compliqué non?
Midi Libre du 14 janvier 2023
Manifestation 11 Février à Montpellier- Compte rendu première réunion d’organisation.
-Environ 25 participants : Maires ou représentants des communes de : St Bres, Baillargues, St Genies des Mourgues, Beaulieu, St Drézéry, Pérols, Mauguio
-Manadiers : Jean Lafon, Renaud Vinuesa, JP Vitou, Claude Chabalier, Benjamin Cuillé.
-Eric Mauras représentant de la FFCC- Thomas Pagon président UJPL et plusieurs jeunes de l’UJPL - Président Fédération de la chasse de l’Hérault- Président Fédération de la pèche de l’Hérault - Martine Apriou pour Esprit du Sud 34 - Pierre-Martin Chazot Henri Itier et Ferdinand Jaoul.
Laurent Jaoul, qui présidait la réunion, nous a fait part des différents soutiens qu'il avait reçus, tels que,
-La présidente de la Région, le Préfet de l’Hérault (En OFF), plusieurs maires de l'Hérault (Dont Mickael Delaffosse président de la métropole de MTP), du Gard, des Bouches du Rhone, de l’Aude.
-Il a été acté un « bureau d’organisation » composé de : Laurent Jaoul (Maire de St Bres) Jean-Luc Meissonier (maire de Baillargues) Thomas Pagon (UJPL) Benjamin Cuillé (Tauromachie) Rémi Dumas (Agriculture)
- La manif est accès « Ruralite » afin de rassembler un maximum de personnes qui ont les mêmes détracteurs (chasse, pêche, tauromachie, agriculture…)
https://actu.fr/occitanie/montpellier_34172/bouvine-la-ruralite-se-prepare-a-deferler-au-rassemblement-du-11-fevrier_57128864.html
Montpellier : la ruralité se prépare à déferler au rassemblement du 11 février
Entre 15 et 20 000 personnes, sans oublier un cortège de plus de 500 chevaux, sont attendues à Montpellier pour affirmer et défendre la ruralité dans toute sa diversité.
La soixante de signataires animalistes et écologistes de la tribune appelant à une réforme de la bouvine ne s’attendaient sans doute pas à une telle levée de boucliers. Car c’est finalement tout un monde qui se soulève bien au-delà de la course camarguaise. En réaction à ce qui est jugé comme « la goutte d’eau qui fait déborder le vase », la manifestation du samedi 11 février s’annonce massive. Ses organisateurs attendent entre 15 et 20 000 personnes à Montpellier, sans oublier un cortège de plus de 500 chevaux, pour affirmer et défendre la ruralité dans toute sa diversité. « c’est le monde rural qui est en train de se lever »
« Il y a un mouvement politique, que je qualifie d’écologie punitive, composé d’élus animalistes et écologistes qui veulent remettre en cause des pans entiers de nos traditions et de notre manière de vivre. Nous le disons clairement, à Montpellier il y a ici une écologie sectaire et punitive ». La colère de Laurent Jaoul n’est pas prête de retomber. Après la chasse et la pêche, les attaques survenues ces derniers mois à l’encontre du monde taurin celles de trop. « Derrière la remise en cause de la ruralité, il y a la déconstruction du monde agricole, d’un mode de vie, d’un savoir-faire. Nous, maires, assumons que demain nos gamins aillent voir des taureaux dans les arènes, de mettre des sapins de Noël sur nos places, de faire passer le Tour de France par nos communes…
Cette bataille que nous sommes en train de mener, c’est le monde rural qui est en train de se lever, c’est un mouvement de résistance que nous allons démontrer le 11 février à Montpellier. Nous n’aurons pas la lâcheté de courber l’échine. Il est temps que chacun se démasque » juge le maire de Saint-Brès.
À lire aussi • Montpellier : après la tribune, le débat pour une « bouvine empathique » est lancé La tonalité est tout aussi grave chez Jean-Luc Meissonnier. « Cette tribune est la goute d’eau qui fait déborder le vase. Cette manifestation du 11 février est un phénomène sociétal. Il y a un diktat de certains bobos urbains sur une identité rurale et péri-rurale. Une identité que nous souhaitons défendre car elle est l’essence même de nos traditions, de nos cultures et d’un lien social et intergénérationnel essentiel par les temps qui courent. Nous n’avons pas l’intention de laisser remettre en question tout cela » pointe le maire de Baillargues.
Défense de la tradition camarguaise « La tradition camarguaise est un art de vie et un mode de vivre. Nous, les jeunes, nous nous connaissons majoritairement grâce aux fêtes votives et aux taureaux qui nous réunissent dans les arènes » défend Thomas Pagnon. Le président de l’Union Jeunes de Provence et du Languedoc met en avant l’importance économique de ces événements taurins à travers le territoire : « À Nîmes, la féria génère 60M€ » ou encore « Je suis de Saint-Laurent-d’Aigouze, les cafetiers font 60% de leur chiffre d’affaires pendant les jours de fêtes » et souligne que les CCI de l’Hérault, du Gard et de l’Aude seront présentes à la manifestation du 11 février.
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Sur l’aspect environnemental, ce dernier ne manque d’appuyer quant aux conditions d’élevage : « Les taureaux vivent dans approximativement un hectare par bête. C’est un élevage extensif aux méthodes uniques au monde que les animalistes et les écologistes ne savent pas et ne veulent pas connaître. La Camargue est un delta unique au monde sur les aspects économique et biodiversité ».
Enfin, au nom de l’UJPL, il affirme avec détermination : « Tous les jeunes de Provence et du Languedoc seront présents à cette manifestation parce que l’on veut que cette tradition continue, nous sommes très attachés à notre territoire et notre mode de vie. Nous donnerons tous pour que cela continue et que nos enfants connaissent tout cela ». Chasseurs, pêcheurs, agriculteurs…
Benjamin Cuillé, éleveur de taureaux à Générac, exprime à la fois la même passion et la même colère : « J’aime la chasse, la pêche, manger une bonne côte de bœuf avec un bon verre de vin. Aujourd’hui, on a l’impression d’être jugés, attaqués et traités de barbare quoi que l’on fasse. J’ai grandi comme cela, je veux vivre comme cela et je veux transmettre cela à mes enfants. Je n’oblige personne mais j’en ai assez des leçons de morale de petits élus planqués dans leurs bureaux dans les grandes villes. C’est pour cela que le peuple de la bouvine s’allie aux chasseurs, aux pêcheurs, aux agriculteurs et aux ruraux pour dire que l’on en a marre et que l’on veut juste vivre libre, ancrés et enracinés ».
À leurs côtés, agriculteur à Saint-Géniès-des-Mourgues, s’estimant « dans le même bateau », Rémi Dumas témoigne : « La bouvine a déclenché le mouvement mais il y a bien longtemps que ces élus essayent de nous imposer leur manière de voir et leur idéal de vie. Si on veut bien manger demain, il faut des agriculteurs. Les politiques veulent une agriculture de proximité mais s’il n’y a plus d’agriculteurs locaux… Il faut arriver à faire comprendre à ces gens-là que l’on doit d’abord travailler ensemble. On ne peut pas imposer des interdictions sans solution, sans accompagnement. À force de nous mettre des contraintes, on ne pourra plus produire correctement sachant que les autres pays n’ont pas les mêmes contraintes que nous. Aujourd’hui, l’enjeu est aussi de dire à ces gens dans leurs bureaux que l’on existe, que l’on a des contraintes naturelles, démographiques avec le renouvellement des agriculteurs… Le monde agricole sera aussi de la partie à Montpellier ».
Attaqué, le peuple de la Camargue se rébiffe et défend ses valeurs
-11h Rassemblement place de la Comédie
-Prises de paroles (il n’y en aura que 5-6 que le bureau va définir mais pas de prises de parole politique) puis cortège vers la Métropole
-Chevaux : Portes drapeaux (NG, Confrérie…) pour les cavaliers, les manadiers doivent rassembler leurs gardians pour faire des chars commun.
-Présence de la Reine d'Arles.
-Toutes les entités du monde rural doivent être contactés et représentés (Syndicats agricole, Camargue, Corrida, Course Landaise, chasse, pêche, Esprit du sud)…
-Plusieurs cars sont attendus venant de toute la région Occitanie et PACA.
Nous comptons sur vous pour votre participation, cette mobilisation doit faire date et sera un exemple national.
Rémi DUMAS Vice-Président National de Jeunes Agriculteurs Président de l’Association Demain Je Serai Paysan
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Manifestation à retentissement national
Paru sur chassepassion.net >>>>>>>
https://www.chassepassion.net/actualite-de-la-chasse/ruralite/une-manifestation-des-ruraux-est-prevue-le-11-fevrier-a-montpellier/