Association de défense des tauromachies - Sommières

LA FOIR FOUILLE D'ALES.". FOIRE novembre 2017
COMMUNIQUE DE L AFICION:
Une nouvelle fois les anti-corridas n'hésitent pas à se manifester par une exigence qui resterait utopique si celle-ci n'est suivie d'aucun effet.
Au cas particulier, un déguisement de torero (voir ci-dessous) à la FOIR FOUILLE [}'ALES a déclenché un battage médiatique visant son retrait.
Le pire c'est la réceptivité qui peut être donnée à ce genre de réaction, car pour éviter toute polémique, le plus simple certes mais le moins courageux des actes, c'est bien de retirer l'objet.
La copie conforme de l'attitude de PONCE PILATE contée par les Romains est une solution de facilité qui n'est certainement pas la meilleure d'un: part parce que dans ce cas c'est fuir ses responsabilités mais c'est également dénigrer la majorité silencieuse qui peut apprécier ce genre de déguisement ou en tous cas qui n'est pas du tout opposée à cette présente.
Actuellement notre societé tend vers une individualisation du droit, un narcissisme à l' extrême qui bouscule ainsi toutes ces valeurs humaines qui sont notamment le respect, l'écoute, la réciprocité, le partage.
L'appréciation de l'autre, lesquelles permettent de rendre possible les valeurs éthiques synonymes de justice, d'intégrité, de refus de la violence, en un seul mot tout le contraire des anti•corridas.

SUITE AU COMMUNIQUÉ D’ESPRIT DU SUD 34 A PROPOS D’UNE MANIFESTATION ANIMALISTE À BÉZIERS L'AFICION COMMENTE
Cher Monsieur Bousquet
Je fais suite à votre communiqué dont j’apprécie la teneur.
Le monde taurin dans son ensemble se doit d’être réactif à toute manifestation de ce genre et utiliser, comme savent le faire les anti-taureaux (toros), tous les supports médiatiques.
Votre réaction et sa diffusion est un élément essentiel dans la contradiction que l’on peut apporter.
« L’AFICION » ASSOCIATION DE DEFENSE DES TAUROMACHIES à SOMMIERES (30) par un récent communiqué vient de s’élever contre un demande de retrait d’un « déguisement » de torero à la
FOIR’FOUILLLE d’ALES (30).
S’il est certain que la majorité de nos concitoyens n’approuve pas ces « dictats » pro-animalistes «émanant d’une minorité « braillante » mais structurée sous forme sectaire, il n’en demeure pas moins que celle-ci est dérangeante voire troublante.

Dernièrement dans une émission sur France INTER Francis WOLFF dans le cadre de son livre sur les « 3 Utopies Contemporaines » est intervenu sur ce sujet, les propos du philosophe sont cinglants vis-àvis de esprit animaliste qui veut faire de nous des animaux, « Nous ne voulons plus devenir des dieux mais aussi des animaux comme les autres ».
Triste société !!!

COMMUNIQUE: 11 NOVEMBRE 2017
L’ASSOCIATION DE DEFENSE DES TAUROMACHIES  "L’AFICION" connaissance prise de la stratégie mise en place par la SPA pour interdire la corrida, se pose la question sur ce nouveau déballage médiatique.
Il s’agit en fait de s’appuyer sur les réseaux sociaux pour créer une sorte d’onde de choc dont le but est de toucher un maximum de personnes et mettre en exergue la volonté de supprimer toute souffrance animale.
De par sa nature tout être humain normalement constitué ne peut que s’opposer à celle-ci, le problème, c’est qu’il s’agit là d’une généralité et justement la corrida représente une particularité et c’est d’ailleurs une raison essentielle de sa validité juridique.
Vouloir faire disparaitre la particularité est donc l’argumentation mise en place par la SPA qui souhaite également, par ce remue-ménage orchestré, créer des zones d’ombre sur sa gestion controversée aujourd’hui mise en lumière par certains réseaux sociaux.

Comme en écho d’ailleurs à cette réaction SPA, l’ALLIANCE ANTI-CORRIDA, vient de se manifester aux fins de s’opposer au déroulement d’« une course à l’Eyraguaise » qui devait se tenir à la CHURASCAIA le 18 Novembre 2017.
Bien que prévue dans une enceinte privée, l’appel au respect de la loi, pourtant tant de fois bafoué pour d’autres manifestations publiques taurines parfaitement autorisées, a été mis aussitôt en avant par l’ALLIANCE toujours aussi réactive dans ce genre de situation mais hélas moins prolixe dans d’autres.

Monsieur le Président
RADIO FRANCE
116, Avenue Président Kennedy 75016-PARIS
Monsieur le Président,
Nous nous permettons, une fois encore, d'intervenir dans le cadre des émissions diffusées sur notre service public, en l'occurrence RADIO France et aujourd'hui France CULTURE, pour lesquelles une orientation anti tauromachique s'affirme de plus en plus.
L'émission de Michel ONFRAY avec les suites de sa conférence sur "Le miroir brisé de la tauromachie" en est une preuve supplémentaire.
Libre à chacun d'exprimer son opinion et toute pensée qu'elle soit philosophique ou autre possède son droit d'antenne et c'est à cet effet qu'il nous serait agréable, comme il est pratiqué dans tout débat démocratique (sauf erreur de notre part nous sommes en démocratie), qu'une émission similaire mais avec un intervenant pro-tauromachique vienne apporter la contradiction qui s'impose.
Nous souhaitons qu'il vous sera possible d'intervenir en ce sens et nous vous en remercions par avance, l'absence de cette contre-partie demandée nous conforterait hélas dans ce giri nous parait comme un téléguidage médiatique.

M. Francis WOLFF
Sommières le 03 Août 2017
Nous nous permettons de vous informer, que suite à une émission diffusée sur France CULTURE, nous sommes intervenus une nouvelle fois auprès de Monsieur le Président de RADIO France.
II s'agit du débat mené M. Michel ONFRAY en suite de sa conférence de Juillet 2017 sur le « Miroir brisé de la Tauromachie » et aux termes duquel il a exposé avec son argumentation, le pourquoi de l'homme à éprouver du plaisir à tuer les animaux en citant comme exemple cette tauromachie qu'il déteste.
Selon lui, en s'appuyant sur un raisonnement habilement dissimulé à partir de ses interprétations sur LEIRIS, BATAILLE, MONTHERLAND, HEMINGWAY, sa conclusion est la suivante : la tauromachie n'est qu'un spectacle à faire jouir des impuissants.
Un certain nombre de nos membres nous ont interpellés et à cet effet, Monsieur le Président de RADIO France a été saisi d'une demande d'émission en réponse menée par un pro-tauromachie.
Nous connaissons l'intérêt que vous portez à notre passion commune et avons pu apprécier vos interventions diverses en ce sens, c'est la raison pour laquelle nous avons jugé bon de vous informer de notre démarche.

"L'ASSOCIATION DE DÉFENSE DES TAUROMACHIES L'AFICION SOMMIÈRES s'insurge devant l'attitude lascive ,aguichante ,suggestive , des poses prises par PAMÉLA ANDERSON devant la statue de NIMENO 2 qui a consacré sa vie à la tauromachie et qui , pour celà , en est mort....C'est triste , déplacé et surtout indécent...(voir Midi Libre du 23 juillet)
L'artiste peintre CLAUDE VIALLAT propose une toute autre vue de la corrida en montrant un toro massif et menaçant devant un frêle banderillero et ce , dans un magnifique arc en ciel de couleurs...

L'ASSOCIATION DE DEFENSE DES TAUROMACHIES « L'AFICION », interpellée par un certain nombre de lecteurs de votre journal, tient à vous faire part de son grand étonnement quant au lien internet qui suit l'article sur la mort du torero IVAN FANDINO dimanche dans les arènes d'AIRE SUR ADOUR.
La presse se doit d'informer et votre article est dans la droite ligne de cette information.
Par contre, que viens faire ce lien pour une ancienne décision judiciaire (pratiquement un an) sans réel rapport avec la disparition du torero, si ce n'est par corrida interposée pour venir apporter un crédit aux anticorridas ?
Pour le profane en effet, la simple lecture de ce lien peut laisser supposer la suppression de ladite corrida au Patrimoine Immatériel, or, il n'en est rien, car les recours déposés et rejetés par le Conseil d'Etat (votre référence) ne sont positionnés que sur le rejet, sans décision aucune sur le fond, c'est-à-dire l'inscription même au Patrimoine Immatériel qui existe depuis 2011.

Monsieur le Président, JUIN 2017
L’Association de Défense des Tauromachies « L’AFICION » tient à vous faire part de son mécontentement suite la disparition totale sur votre chaîne de l’émission « TENDIDO SUD ».
S’il ne nous appartient pas de nous immiscer dans la gestion de TV SUD, nous pouvons néanmoins manifester notre désagréable surprise de cette suppression.
La tauromachie représente dans notre région une identité culturelle incontestable et cette amputation sur votre chaîne constitue un dédain envers le monde de l’aficion.
Comment une télévision régionale du SUD (c’est le nom que vous avez choisi) peut-elle de la sorte occulter ce qui constitue l’essence même de notre région ?
Les lobby anti-taurin auraient-ils une influence aussi importante pour priver les téléspectateurs d’une émission qui avait su faire sa place dans ce monde si particulier de l’audio-visuel ?
Nous osons espérer que votre Conseil d’Administration ou une équipe dirigeante à l’esprit du SUD saura revenir sur cette décision ?

Monsieur le Président de la République PALAIS de (L'ELYSEE 27 JUIN 2017)
Monsieur le Président,
Nous nous permettons par la présente de vous faire part de notre effarement suite à une émission de France INTER (23 Juin 2017) aux termes de laquelle sous le fallacieux prétexte de vouloir faire rire de tout, « on
» a basculé dans le sordide en se gaussant de la disparition tragique du torero IVAN FANDINO.
Se moquer de la sorte de la mort d'un être humain est indigne sur le plan simplement moral, mais lorsque cela est relayé par une station radio du service public, le contexte n'est plus le même, car ce sont les fonds publics qui « sponsorisent » ce genre d'attitude.
S'abriter derrière la liberté d'expression est une manoeuvre habile et facilement malléable, mais cette liberté a quand même ses limites, et les retours que nous avons eu nous incitent à intervenir auprès de votre autorité afin que de tel dérapage immonde n'est plus cours.
Nous osons espérer que votre intervention nous rassurera sur le constat que la France reste un pays de liberté mais avec une priorité néanmoins le respect de l'humain.

Juin 2017
L'ASSOCIATION DE DEFENSE DES TAUROMACHIES « L'AFICION », interpellée par un certain nombre de lecteurs de votre journal, tient à vous faire part de son grand étonnement quant au lien internet qui suit
l'article sur la mort du torero IVAN FANDINO dimanche dans les arènes d'AIRE SUR ADOUR.
La presse se doit d'informer et votre article est dans la droite ligne de cette information.
Par contre, que viens faire ce lien pour une ancienne décision judiciaire (pratiquement un an) sans réel rapport avec la disparition du torero, si ce n'est par corrida interposée pour venir apporter un crédit aux anticorridas ?
Pour le profane en effet, la simple lecture de ce lien peut laisser supposer la suppression de ladite corrida au Patrimoine Immatériel, or, il n'en est rien, car les recours déposés et rejetés par le Conseil d'Etat (votre référence) ne sont positionnés que sur le rejet, sans décision aucune sur le fond, c'est-à-dire l'inscription même au Patrimoine Immatériel qui existe depuis 2011.

Madame la Reine d'ARLES Sommières le 11 Mai 2017
Madame, Altesse d'ARLES,
L'ASSOCIATION DE DEFENSE DES TAUROMACHIES « L'AFICION », connaissance prise de l'agression dont a été victime un gardian à ARLES (13) tient à vous féliciter pour votre réaction et votre refus d'être «
interviewer » face à cette menace de plus en plus pressante manifestée, trop souvent physiquement, par les anti-corridas.
Le journaliste en question, qui s'octroie le droits, lors de ses apparitions télévisées ou de ses interventions radiophoniques, de vomir sa haine contre la corrida utilise à présent un nouveau registre, celui de la bassesse totale contre la personne.
Le comble, pour ce genre d'individu empreint d'un narcissisme aveugle, c'est qu'au gré de certains de ses écrits, il parait vanter le rôle encenseur de notre Camargue dont l'une des symboliques reste le taureau.
En développant une telle irascibilité, se rend-il compte qu'il ne fait que pratiquer de l'auto-destruction ?

M Patrick ALARCON Sommières le 11 Mai 2017
l'ASSOCIATION DE DEFENSE DES TAUROMACHIES « L'AFICION », connaissance prise de l'agression dont vous avez été victime à ARLES tient à vous apporter son soutien et vous féliciter pour votre réaction face à cette menace de plus en plus pressante manifestée, trop souvent physiquement, par les anti-corridas.
Le journaliste en question, qui s'octroie le droits, lors de ses apparitions télévisées ou de ses interventions radiophoniques, de vomir sa haine contre la corrida utilise à présent un nouveau registre, celui de la bassesse totale contre la personne.
Le comble, pour ce genre d'individu empreint d'un narcissisme aveugle, c'est qu'au gré de certains de ses écrits, il parait vanter le rôle encenseur de notre Camargue dont l'une des symboliques reste le taureau.
En développant une telle irascibilité, se rend-il compte qu'il ne fait que pratiquer de l'auto-destruction ?

La statue de ce torero, NIMENO II , est le monument le plus photographié de la VILLE DE NIMES. Il est, de plus, la manifestation affichée de l'aficion des élus et de la population...
S'en prendre à ce symbole est une forme d'indignité qui doit être combattue...
Cette souillure , au propre comme au figuré , est certainement l'acte type de l'immoralité qui anime cette minorité d'antitaurins se complaisant dans la provocation , l'illégalité , la lacheté et surtout l'anonymat sournois...
On peut ne pas aimer les tauromachies , mais au moins rester digne , comme la plupart des gens qui ne pratiquent pas ce genre de spectacle...!

Dominique Valmary, Président de la Fédération des Sociétés Taurines de France (FSTF) , résume dans un éditorial lumineux un petit essentiel à connaître sur le Procès qui s'est tenu samedi 8 Avril 2017 dans le cadre du 9ème Cycle Culturel du CERCLE TAURIN NÎMOIS.
Une belle affluence, et un vif succès ont marqué cet épisode de LA ROBE NOIRE dans le cadre de ce cycle culturel. Une initiative très aficionada remarquablement réalisée avec la collaboration essentielle et magistrale de l'Institut International de Droit Taurin.

Réponse aux Aquoibonistes
L'édito de Dominique Valmary
Les initiatives culturelles auxquelles la corrida donne corps ont connu ce samedi un épisode qui marquera les esprits à plus d'un titre.
« La Robe Noire » a organisé par le Cercle Taurin Nîmois un procès audacieux de trois situations qui portent atteinte aux droits et intérêts des aficionados : la décision de l'Alcade de Madrid de ne plus financer l'école taurine et de supprimer toute référence taurine dans les documents touristiques de sa Ville, la décision liberticide prise en Catalogne, le non pourvoi en cassation devant le conseil d’État commis par le premier ministre français.
Avec la collaboration essentielle de l'Institut International de Droit Taurin a été imaginé et mis en scène au sein d'un prétoire habilement reconstitué le déroulement d'une instance pénale mettant en cause les personnes morales et les auteurs prévenus.
Grâce à la participation de personnalités françaises et espagnoles de haute volée représentant le tribunal, le parquet, les experts, les parties civiles, la défense, le procès fictif a pris corps et montré l'utilité des démarches juridiques et l'importance du politique dans ce qui relève de la préservation des traditions populaires et des libertés.
L'intitulé ne laissait aucun doute quant au sujet que les intervenants avaient à traiter :
Le procès : hypocrisies, trahisons et autres concours de lâcheté politique
Au terme des débats et à l'issue du délibéré juridiquement argumenté les peines sont tombées avec l'à propos et l'humour, deux approches non antinomiques, qui siéent en pareil exercice.
Il ne m'appartient pas de dévoiler le contenu des débats qui feront l'objet d'une exploitation écrite et vidéo ultérieure. Le public a appris que les positions se sont un peu infléchies à Madrid, que la décision catalane a été sanctionnée par la cour constitutionnelle espagnole, que malgré l'abstention du gouvernement français la corrida demeure inscrite sans conteste au patrimoine immatériel français...
Cet exemple réussi de pédagogie, un des événements majeurs de la saison culturelle taurine, est la démonstration que la corrida est un élément sociétal incontournable dépassant la caricature qui en est faite par ceux qui veulent la rayer des pratiques humaines respectables. Et que sa promotion doit passer par tous les types d'expression.

Communique de l'AFICION suite- au battage médiatique orchesté par les anti-corridas
Publié Jeudi 20 dans la GAZETTE DE NIMES
LES ANTI CORRIDAS SONT DÉPITES
En ces périodes électorales, il est de bon ton de se manifester auprès des présidenciables, ce que n'ont pas manqué de faire les anti corridas, mais ils n'ont pas réussi à imposer leur dictat comme ils espéraient, se voyant opposer soit un refus, soit une non réponse.
Que reste-t-il donc pour appuyer le nombrilisme qui les anime sur le sondage et la mise en marche des réseaux sociaux et des médias toujours enclins à créer le « buzz ».
Sans vouloir porter une quelconque critique sur cette forme à la mode de provoque l'opinion par des chiffres, reste à savoir comment celui-ci a été fait.
Il est toujours facil lorsque l'on est demandeur, donc payeur (en principe), d'orrienter par des questions pertinentes la personne sur son choix, « le paradoxe de CONDORCET » est là pour confimer cette position qui date quant même du 18ème siècle, où déjà, à cette époque RAYONNE avait fêté le centenaire de sa première corrida.
Pour ce qui est des commentaires des anti-corridas en appui de « leur » sondage, point n'est besoin d'en parler tant ils sont dans le déni, oser prétendre que nos gamins sont confrontés aux image- terribles que présente la corrida alors que la TV nous inonde de films, vidéos, séries ou autres documentaires où a violence, la mort, et la haine sont mises en exergue.
Le bon sens devra l'emporter, mais existe-t-il pour tout le monde?

COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Selon un sondage commandité par une association, 75% des français seraient opposés à la corrida, activité culturelle qui jouit d'une double légitimité : foncière par son enracinement, et juridique grâce à la constitutionnalité d'une disposition pénale qui entérine un fait justificatif de dérogation et une inscription à l'inventaire du PCI.
Par ailleurs, une réalité culturelle n'est jamais assujettie aux résultats d'un sondage, sinon, les mesures d'audience Médiamétrie seraient fatales à la musique contemporaine et condamneraient les dépenses "inutiles" liées à l'existence de France-Culture...
Relevons toutefois qu'un sondage précédent, également commandité par des associations anti taurines et publié voici deux ans, affirmait que 90% des français étaient opposés à la corrida, ce qui dénoterait une progression spectaculaire de ceux qui y sont favorables.
En outre, avec 25% d’opinions favorables supposées, la corrida jouit en France d’un score que tous les candidats à la présidentielle souhaiteraient réaliser, dans la mesure où il leur garantirait leur accession au second tour.
Mais si les sondages étaient fiables, Donald Trump ne serait pas président des USA, le BREXIT n’aurait pas eu lieu et messieurs Juppé et Vals se disputeraient aujourd’hui l’Élysée.
Ce sondage n’est en fait qu’un écran de fumée destiné à masquer la réalité : tous les principaux candidats à l’élection présidentielle ont déclaré qu’ils étaient opposés à l’interdiction des corridas, et certains ont même dénoncé le harcèlement dont ils ont été la cible de la part des milieux anti taurins.
Les seuls candidats favorables à une interdiction des corridas sont madame Artaud et monsieur Poutou, crédités à eux deux de 3% par les sondages.
Appliquée au débat politique, la logique totalitaire préconisée par l’association commanditaire du sondage contre la corrida, aboutirait donc logiquement, au nom du fait majoritaire, à la suppression de la liberté d’expression des minorités que ceux-ci représentent et dont 97% des français ne partagent pas les idées.
Or, la Constitution, les Traités Européens et les Conventions internationales dont la France est signataire, garantissent au contraire la liberté et la diversité des expressions culturelles, surtout lorsque celles-ci
sont minoritaires, afin d’éviter qu’une forme de globalisation de la pensée ne vienne appauvrir la richesse des terroirs français qui constituent le socle de la République.
Inscrite au Patrimoine Culturel Immatériel de la France et jouissant d’un statut légal entériné par le Conseil Constitutionnel, la corrida fait partie de l’identité des régions de tradition, dans lesquelles, sans subvention de l’État, des Régions ou des Départements, elle crée de nombreuses richesses grâce au public qui fréquente les arènes.
L'Union des Villes Taurines de France et l'Observatoire National des Cultures Taurines respectent les expressions contraires à la pratique culturelle qu’ils se sont donnés pour mission de transmettre, mais dénoncent avec fermeté les attaques discriminatoires qui sont portées à l'encontre de la communauté des aficionados, qui a le droit au respect.

Monsieur le Maire de Palavas
L'ASSOCIATION DE DEFENSE DES TAUROMACHIES « L'AFICION » a eu connaissance de la mise en place de votre Féria 2017 et à ce titre se réjouit du maintien de celle-ci et des divers spectacles taurins prévus, notamment les courses camarguaises.
Toutefois, si l'argumentation du coût financier des corridas reste un point toujours épineux, il n'en demeura pas moins que celles-ci ont disparu, cette année, du programme, ce que n'ont pas manqué de mettre en exergue, les anti-corridas, allant même jusqu'à parler de victoire et de suppression totale dans votre ville.
S'il est vrai qu'il est fait état dans les communiqués de suspension provisoire, il parait, hélas certain !, que cette année dans les arènes « EL CORDOBES » la corrida sera absente.
N'aurait-il pas été possible, à défaut "d' affiche ronflante" avec un effet public pas toujours évident, d'organiser un spectacle similaire, plus modeste certes, mais qui aurait eu le mérite d'éviter cette carence et toutes les interprétations qui en découlent.
Il s'agit, pour nous, d'émettre un simple avis, en notre qualité de défenseur de toutes les tauromachies et, pour cette raison, il nous serait agréable que vous nous confirmiez qu'il ne s'agit que d'une situation transitoire sans impact sur la ligne de conduite des arènes Palavasiennes.

Monsieur le Président de l'UVTF 6 mars
Nous nous permettons, par la présente, de vous faire part de l'existence de notre association qui parait être en osmose avec le plan mis en valeur notamment par l'UVTF.
L'ASSOCIATION DE DEFENSE DES TAUROMACHIES « L'AFICION », c'est son nom, a pour objet de défendre toutes les tauromachies, lors de notre récente soirée à thèmes nous avons accueilli le Président de l’ONCT André VIARD avec la projection du film « Tauromachies Universelles »
A notre humble niveau, avec nos 300 membres, nous intervenons afin que notre passion puisse s'exercer en toute quiétude, en privilégiant l'esprit de liberté et de tolérance.
Lors de toute manifestation tauromachique, nos membres sont là, non pas pour convaincre, ce n'est pas notre rôle, mais pour expliquer, car trop souvent, en effet, le profane en quête de savoir, se heurte à une non réceptivité qui le prive ainsi de notre culture.
Indépendamment de nos soirées à thèmes très prisées, de nos site et blog, des plaquettes distribuées gratuitement, de l'édition d'un argumentaire sur la corrida, des voyages taurins, des sorties didactiques « al compo », nous réagissons dès la connaissance d'une intervention anti-taurine, soit par voie de presse, soit par courrier, auprès des médias (radios, quotidiens, magazines) ou des personnalités concernées.
La présente ne prétend en aucune manière vouloir rechercher une quelconque reconnaissance, il s'agit simplement d'informer que nous sommes là avec pour seuls réels moyens, la sincère expression de notre passion.
Bien que partagée par une majorité ordinairement silencieuse, le monde aficionado se sent menacé, il entend néanmoins conserve son identité afin qu'il soit « la vitrine de notre culture et de notre terroir », sachez
qu'avec l'humilité qui nous anime, nous saurons relayer les actions de l'UVTF.

Monsieur Pédro ALMODOVAR le 25 février
L'ASSOCIATION DE DEFENSE DES TAUROMACHIES L'AFICION a eu connaissance des diverses interventions des anti-taurins visant à tenter de faire annuler votre présidence au prochain Festival de CANNES au motif invoqué "aficionado a los toros".
Nous ne voyons pas, c'est évident, comment une minorité qui se croit "bien pensante" peut se permettre de telles réactions pour marginaliser ainsi notre passion, mais, celles-ci, aujourd'hui ciblées sur votre personne, deviennent de plus en plus répétitives.
Les mots "LIBERTE" "EGALITE" "TOLERANCE" ont été ostracisés, l'aficionado est devenu pour eux un excommunié, un dégénéré, un danger pour leur monde utopique.
Et pourtant, "...il ne fait de mal à personne, ne vole rien, (il vit) de manière honnête pleine et cohérente (sa passion) c'est un droit essentiel de toute société civilisée" (Extraits re-modelés lettre au Sénat argentin Juillet 2010).
Nous tenions par ce courrier à vous apporter, notre humble soutien en formulant des vœux afin que votre présence symbolise justement ces trois mots si souvent évoqués dans vos films.

L'INSTRUCTION JUDICIAIRE MÉTHODE ANTI-CORRIDAS selon un article de la Gazette de Nimes (n° 324)
L'ASSOCIATION DE DÉFENSE DES TAUROMACHIES « L'AFICION » est stupéfaite par la réaction des anti-corridas suite aux attentats dont sont victimes certains acteurs du monde taurin.
Les anti-corridas n'attendent même pas l'issue judiciaire qui sera donnée à ces gestes inqualifiables et n'hésitent pas à pendre une position ferme qu'ils justifient par une interprétation déroutante.
Pour eux, en effet, il ne peut s'agir que des pro-corridas, en aucune manière les anti ne peuvent se sentir concernés, le monde taurin serait en effet un monde malsain au sein duquel ne transpirent que complots et règlements de compte.
Une phrase du torero Marc SERRANO sortie de son contexte, les manifestations de RODIlHAN dénaturées « façon anti corrida » servent de prétexte pour essayer d'étayer leur argumentation.
Oublié le fait que les manisfestations visées étaient interdites, oubliées les condamnations judiciaires des meneurs des anti-corridas, oubliées également toutes les manifestations privées de toute lucidité visant à vouloir imposer leur dictat, et interdire ce qui est autorisé, ta seule logique pouvant exister c'est la « leur ».
La position « nombriliste », exprimée depuis longtemps par les anti-corridas pour la plupart téléguidés par d'obscures raisons pas toujours anti-tauromachiques, est connue depuis longtemps mais il présent, vouloir juger pour condamner en lieu et place de la justice parce que persuadés d'être investis du pouvoir suprême de l'intolérance, relève d'un narcissisme primaire.

Jean-Paul FOURNIER répond au courrier de l'Aficion
Vous avez bien voulu me saisir au sujet de la proposition de loi visant à abolir la corrida, déposée par mon collègue député Michel ZUMKELLER, cosignée par 4 députés et enregistrée par le Président de l'Assemblée nationale le 5 avril 2016.
Fréquemment, des parlementaires, principalement des députés, déposent des propositions dans ce sens. Néanmoins, ces démarches font long feu, puisqu'elles ne sont jamais inscrites à l'ordre du jour des deux assemblées parlementaires.
Nous devons toutefois rester vigilants. Comme vous devez le savoir, je suis un farouche défenseur de l'organisation des courses taurines, espagnoles et camarguaise, dans notre pays. Les opposants utilisent tous les moyens pour arriver à leur fin. En 2012, les associations anti-corrida avaient été déboutées devant le Conseil constitutionnel, dans le cadre d'une question prioritaire de constitutionnalité.
A l'avenir, d'autres démarches légales seront enclenchées vraisemblablement dans ce sens. Si nous ne pouvons, dans un état de droits, les empêcher, nous
devons rester très attentifs. Notre meilleure arme est sans nul doute l'unité pour défendre nos valeurs et préserver cet héritage culturel qui fait la force de la France et de l'Europe.

En Inde, la tauromachie fait polémique
Le Jallikattu, une tauromachie sans mise à mort, est si populaire dans l’État du Tamil Nadu que son interdiction a été perçue comme une injure aux yeux de la population.
Delhi De notre correspondante.
Rituel ludique s’apparentant à une forme de rodéo, le Jallikattu est ancré dans la vie rurale du sud de l’Inde, où sa tradition perdure depuis plus de 2 500 ans.
Pour démontrer leur courage, les jeunes villageois tentent de dompter à mains nues un taureau lâché dans une arène. Le principe consiste à l’immobiliser, sans le blesser, en s’agrippant des deux bras à sa large bosse.
Le Jallikattu désigne en l’occurrence la « récompense de pièces », autrement dit le trophée noué aux cornes du taureau que le gagnant remportera pour ses prouesses.
Chaque année, le Jallikattu est célébré en janvier, lors du grand festival de Pongal en l’honneur de l’agriculture et du bétail. Cette pratique joue un rôle crucial dans le maintien de l’élevage local et la sélection de taureaux de qualité. Mais les associations de défense des animaux dénoncent la cruauté déployée à l’égard du bovidé. En dépit des dénégations des organisateurs, elles soutiennent que les taureaux sont maltraités afin d’être enragés au combat. Avant de les lâcher, les éleveurs les blessent parfois avec des piques ou leur jettent aux yeux de la poudre de piment. Appuyées par l’organisation internationale Peta, ces
associations ont eu gain de cause en 2014, la Cour suprême bannissant alors la pratique de ce sport.
À l’approche de la manifestation, des protestations massives ont vu le jour récemment, obligeant le chef de l’exécutif du Tamil Nadu a en référer au premier ministre indien Narendra Modi. Le gouvernement a cédé. La décision de justice a été annulée et la législation locale a autorisé à nouveau cette pratique
. Mais les esprits ne se sont pas calmés. De part et d’autre, les manifestations violentes ont continué, comme les face-à-face avec la police : véhicules incendiés, personnes blessées, écoles fermées. Tous ces débordements, qui ont paralysé le Tamil Nadu, peuvent paraître hors de proportion. Les habitants de l’État se justifient toutefois en évoquant une atteinte portée à leur identité et à leur culture. Ils ont même reçu
le soutien de leurs stars du cinéma tamoul : une autre « institution » sacralisée par les foules. En Inde, les passions s’embrasent quand on touche aux symboles.