Association de défense des tauromachies - Sommières

Romain BOFI de TORIL TV a proposé aux spectateurs ce vendredi 16 février cette première soirée 2018 un beau programme que l’on aurait voulu voir durer plus longtemps (c’eut été possible, car il avait de la réserve !) Il a présenté des reportages sur diverses tauromachies et notre patrimoine.

Reportages denses d’une dizaine de minutes, des interviews bien conduites, des images particulièrement bien choisies ou réalisées et un commentaire discret mais complet. C’est normal c’est un pro du cinéma…mais il faut le faire.

Il a également longuement parlé de TORIL TV ce site web si complet qu’il a créé et qu’il agrandit toujours, en particulier avec des partenariats d’importance pour la communication d’arènes, de toreros, de razeteurs etc

Questionné par Alain Bourrely, l'animateur de la soirée, il a montré également son aficion globale qu’il met en évidence dans ses reportages et qui bien sûr se fait régulièrement attaquer de diverses façons par les anti taurins.(Au lendemain de sa venue ceux-ci ont réussi à faire déprogrammer par des manœuvres déloyale sa page Facebook !)

TORILTV.COM c’est une adresse à mettre dans vos sites web favoris et à consulter régulièrement !





Malgré le mauvais temps, un public nombreux et passionné est venu vendredi 13 avril assister à la salle  de l’Esplanade de Sommières, siège de l’Association de DEFENSE des TAUROMACHIES « l’AFICION PAUL RICARD », à la Conférence sur le thème du « Razet d’hier à aujourd’hui ».

Cette soirée fut  lancée par la présentation d’une très belle vidéo réalisée par Manu Pinto. Ce montage a permis de voir l’évolution de la Course Libre et du razet à travers le temps, grâce à de très belles images d’archives et des interventions de personnalités du monde de la Bouvine.

Il s’en suivit un long débat, animé par Florent LUPI petit fils du Manadier Albert Chapelle, qui lui a passé le flambeau, et Jacques Roumajon, membre de l’AFICION PAUL RICARD bien connu en tant qu’ancien razeteur. Le débat fût de haut niveau, les questions pertinentes et nombreuses. Le président Claude Ricard dut d’ailleurs y mettre un terme, le temps accordé ayant été largement dépassé….mais les conversations se poursuivirent autour du pot habituel.






Vendredi 16 novembre, devant un public très nombreux,  présentés par Claude RICARD, les deux invités exceptionnels, se sont livrés à des confidences sur leur vie et leur art. Nous vous en livrons ici quelques-unes : A Aubais et dans les environs, C.VIALLAt  rasetait en douce, c'est-à-dire en  cherchant à tirer le taureau derrière lui pour l’amener aux barrières et pas du tout pour attraper la cocarde !

Dans son atelier, C.VIALLAT peint au sol comme l’a si bien montré le film intimiste de Gilles THOMAT ,  projeté en ouverture de cette soirée . Cette peinture peu académique est accompagnée de nombreuses peintures de scènes tauromachiques réalisées de façon plus classique. Des toros il y en a partout chez lui et il en achète encore ! Rappelons que sa collection alimente un fond au Musée des Cultures Taurines de Nîmes qui porte son nom et celui de sa femme.

A MONTCOUQUIOL, balloté dans sa jeunesse fut propulsé à Nîmes au décès de son père. Son entrée en tauromachie s’est faite de façon fortuite sur un coup de bluff qu’il a ensuite renforcé par ses convictions propres, ses lectures et ses fréquentations au mont Magarrot à Nîmes. Bien que très éloignée de ce milieu, sa mère l’a laissé faire. C’est cette passion du toro qui l’a sorti de ses tourments d’adolescent.

Pour ce premier torero français convaincu que l’Art de la tauromachie étant réputé  universel, il ne doit pas avoir de frontières, l’exil  en Espagne était indispensable, bientôt rejoint par son ami S.Casas.

A MONTCOUQUIOL s’est retiré du monde de la tauromachie après la mort de son frère Nimeno.  Mais il a continué a manifester sa passion en se recentrant sur les aspects intellectuels de la tauromachie (l’écriture et le théâtre) et artistiques et littéraires grâce à ses nombreuses connaissances.

Pour C. VIALLAT à son entrée au Beaux Arts de Montpellier, la « peinture est morte », donc. Il faut la recommencer, par une inspiration, des techniques nouvelles, des supports originaux (toiles de toutes sortes, bois etc.). La répétition de ses fameuses éponges évoque les techniques des peintres d’intérieur du début du siècle. Peindre d’abord, attendre que les couleurs s’affirment et ensuite voir le résultat A MONTCOUQUIOL a évoqué la carrière passée et à venir  à T JOUBERT , un artiste, dont le toreo, le mental et le professionnalisme l'on séduit, dont il a été le "mentor"e et qui réapparaitra des les ruedos en 2019.

En conclusion les deux intervenant félicitent l'Aficion, l'association de défense des tauromachies.