Cet agenda de 210 mm x 270 mm, sous reliure rigide en simili cuir, richement illustré, en noir et en couleur, est à nouveau particulièrement riche (240 pages, 53 rédacteurs) et fourmille de précieux renseignements. En plus de constituer un agenda de bureau, avec éphéméride de chacun des jours de l'année, il contient, un abécédaire taurin, la statistique des toreros, le répertoire des ganaderias, des plazas de toros, des clubs taurins, des hôtels et restaurants taurins. Et encore, des centaines de chroniques et d'articles ...
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LA CAUSE ANIMALE VRAI ET FAUX
La défense de la cause animale devenue « phénomène de mode » apparait régulièrement dans l’espace médiatique se présentant sous une forme de candeur naturelle faisant croire que seuls les anti-spécistes détiennent la vérité, en s’appuyant sur des argumentations diligentées dans la majorité des cas par des scientifiques dont le titre à lui seul est censé couper court à toute opinion divergente.
                         
ATTENTION DANGER
 
               Des exemples récents (décisions municipales VERGEZE, MONTPELLIER, décisions internationales Espagne, Equateur) se doivent de nous faire réfléchir sur une menace : un danger latent pour lequel chacun dans sa sphère personnelle pense ne pas être concerné.
  Il n’est pas rare et, c’est hélas  souvent le cas, que certains n’hésitent pas, quelque puisse être la situation à faire avancer leurs idées qui du simple fait de leur appartenance sont censées être les bonnes.
                 Le contexte actuel tendrait à les laisser sommeiller afin de ne pas rajouter des éléments de discorde à notre monde anxiogène pour lequel devrait primer une osmose toute autre.
                  Leur idéologie est telle qu’ils n’ont aucune retenue, prise isolément cela peut poser problème par sa forme médiatique qui lui assure une écoute dans le réceptacle dystopique (1) qui est le leur,  mais, le risque est beaucoup plus important lorsqu’il transpire la politique.
                   La tauromachie n’y échappe pas, pas plus que les cirques...
 
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Le chantier des Etats Généraux des Tauromachies entre dans sa deuxième phase avec la convocation des Ateliers Thématiques qui vont se dérouler du 16 au 30 février ouvrant la voie au Grand débat qui devrait se tenir en mars 2021.
Le recours obligé à des visioconférences entraîne des contraintes techniques et génèrera des frustrations inévitables mais il n'était pas envisageable de reporter les débats à une échéance trop hypothétique.
Pour votre information vous trouverez rassemblés dans un même dossier tous les documents publiés  sous l'intitulé Annales des Etats Généraux des Tauromachies en particulier les documents préparatoires aux Ateliers Thématiques que nous avons souhaité vous communiquer dès maintenant.
NOUVELLE RUBRIQUE
Patrimoine immatériel en Espagne et les nains toreros
 
Le Ministre de la Culture vient de décerner à la Réal Maestranza de SEVILLE la médaille des Beaux Arts au titre de la reconnaissance pour le travail méritoire lié à la tauromachie pratiqué pour la manifestation du Patrimoine Culturel Immatériel de l'ESPAGNE.
 






                                       
 

Ce mot "immatériel" dernièrement (voir la lettre cachée UNESCO) était certes sous jacent et difficilement contestable, à présent il parait bien acquis, en peu de jours deux confirmations qui  paraissent importantes et d'autant plus surprenantes au vu des décisions négatives prises à l'encontre de la tauromachie jusqu'à présent.
                                         Simple constat réaliste ? nouvelle orientation politique ? manoeuvre ?
 
                                       D'autre part, le torero, ganadero, avocat Grégorio de Jésus qui veut étendre le développement de la tauromachie, déclare vouloir représenter en Espagne, en France et Portugal, l'empastre "POPEYE et ses nains marins toreros" une sorte de pied de nez à la vice-présidence du gouvernement espagnol qui souhaite déposer une loi privant les nains de présence en piste (voir le commentaire sur les Bomberos Toreros).
                                                             LES RACINES DE LA TAUROMACHIE
 
        L’origine de la corrida se situerait pour certains historiens au moyen âge, pour d’autres cette période est contestée, pour les jeux taurins, ancêtre de la course camarguaise, ce serait le XIIème siècle pour certains,  contestée également pour d’autres.
                                  Il est difficile donc de situer de manière précise l’engouement pour la tauromachie partagée tant par le peuple que par la noblesse d’alors.
                                  Une chose parait toutefois certaine, c’est la preuve de son existence depuis des siècles et son ancrage légal dans notre société au travers de tous les spectacles donnés avec la présence de cet animal emblématique qu’est le taureau ou toro.
                                   A une époque relativement récente, il était naturel de s’afficher en première ligne dans une arène, HEMINGWAY, PICASSO, COCTEAU et autres personnalités d’alors en sont les exemples, les chansons  évoquaient « Les belles étrangères qui vont aux corridas «  (Jean FERRAT)  le sourire d’ « EL CORDOBES » (DALIDA)  la destinée tragique « Le TORERO » (Charles AZNAVOUR)  « Les TOROS (Jacques BREL) « LA CORRIDA » (Gilbert BECAUD)  qu’en est-il de nos jours ?
                                   Les poètes ont disparu, et avec eux ce sentiment de fierté, sans retenue, de paraitre qui les animait,   avec ce mot nouveau emprunté à la langue anglaise  pour désigner une célébrité s’est glissé une sorte de fausse pudeur qui fait que  certains « peoples » en arrivent  à cacher leur  présence.
                                     Les raisons seraient nombreuses à citer, mais parmi celles-ci, il faut noter une sorte de destinée rampante qui a vu et qui voit disparaitre dans nos villages, pour certains  le symbole même de la tauromachie, les arènes, pour d’autres la suppression, souvent tacite, mais surtout se voulant non provocatrice, de ces spectacles qui avaient pour nom,  novilladas ou courses de taureaux camarguais sans nom ronflant à l’affiche, certes  pas toujours mirobolantes mais empreintes d’une  sincérité sans faille.
                                     Les spectacles sont devenus l’apanage des grandes arènes opérant une sorte de sélection  non pas naturelle mais en quelque sorte imposée sans volonté réelle,  cette évaporation entraîne la disparition de l’essence même de la tauromachie dans nos villages dont le ciment était souvent constitué par la relation » anciens-jeunes », générant ainsi de manière naturelle l’expérience d’un vécu, de la sorte ce sont nos racines qui disparaissent.
                                        La situation actuelle liée au contexte sanitaire et la poussée animaliste sont des éléments troublants pour notre tauromachie, mais nous ne sommes ni des agitateurs ni des rigoristes,  la sagesse et la raison nous animent et la loi est avec nous, de plus c’est dans l’adversité que la force se décuple, certains évoquent la reconstruction de la tauromachie, pourquoi pas ?  Mais n’oublions pas qu’un arbre puise sa beauté et sa grandeur dans ses racines.
                                                       
                          
Aux Éditions R. Laffont - collection "bouquins"   - 31€
ANNALES DES ÉTATS GÉNÉRAUX DES TAUROMACHIES 2020-2021
A l’occasion des attaques répétées contre la corrida et de l’annonce, par la maire de Puebla (Mexique),  Claudia Rivera Vivanco, d’un vote au conseil municipal d’une éventuelle interdiction des corridas, le journaliste Horacio Reiba de « La Jornada de Oriente » de Puebla  a fait appel au philosophe français Francis Wolff.
Voici quelques extraits de cette lettre ouverte adressée au maire de la ville.
lire
Un centenaire de souvenirs de la Manade Fanfonne Guilherme par Josee Gimenez compagne de Christian Espelly
aux éditions Sansouire
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                                                             CORRIDAS SOMMIEROISES
         
Si le mot « corrida » n’est pas adapté, il n’en demeure pas moins qu’il était usité dans le langage local, il s’agissait de novilladas, de capéas, de festival, souvent même c’était « mise à mort » oui « mise à mort » , avec parfois un préfixe grandiloquent.
           Bien sûr, il n’était pas question de rivaliser avec NIMES, ARLES, MARSEILLE ou TOULOUSE dont les affiches d’alors habillaient  les murs de maisons Sommiéroises, publicité déjà envahissante et pas toujours esthétique mais tolérée.
            Nos vedettes à nous, n’avaient pas les noms ronflants de l’époque, ils n’étaient d’ailleurs même pas « espagnolisés », parfois il s’agissait « d’apodos »  plus facile d’usage pour un professeur de mathématiques ou de philosophie, mais pour beaucoup c’était leurs nom et prénom, rien n’avait à être caché.
            Pour les toros, c’étaient des élevages,  pas très nombreux à l’époque, qui  provenaient des bords du Rhône ou du Vaccarés, les gênes s’entrecroisaient entre les origines espagnoles et ceux de la Camargue, de la sorte le bétail sortait parfois avec une certaine réserve parfois peu rectiligne.
 
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Interview de Francis WOLFF avec CORRIDA SI
PRIX HEMMINGWAY
Editions AU DIABLE VAUVERT
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Pour le philosophe Francis Wolf, "interdire la corrida serait un assassinat"
Lire le billet de F.WOLF
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   Depuis quelques années les attaques et les actions des "anticorridas" sont plus nombreuses plus insidieuses et parfois violentes et bénéficient de soutiens très médiatiques.
  Même si ces actions, parfois très virulentes, ne sont pas prêtes d'aboutir en France, il n'en demeure pas moins que les aficionados doivent réagir et doivent avoir la liberté d'assister aux spectacles taurins.
  Si un jour cet abolitionnisme atteignait la corrida il est certain qu'alors les prochaines victimes seraient la course camarguaise, les abrivados et tous les spectacles taurins.
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